Le produit a bien été ajouté à votre panier. Cliquez l’un des boutons ci-dessous pour continuer votre visite...
LA QUANTITÉ COMMANDÉE DÉPASSE NOS STOCKS et certaines références n'ont pas pu être ajoutées à votre panier. Contactez-nous pour commander des quantités plus importantes.
Retrait gratuit dans votre boutique préférée
fiche de jeu publiée le samedi 1er septembre 2012
photographies non contractuelles. en cas de doute sur les caractéristiques exactes, téléphonez-nous ;)
Un grand jeu de stratégie pour la plus grande et plus vieille mine de sel d’Europe.
Wieliczka en Pologne, 300 km de Galeries souterraines, une église à 100m sous terre, un sanatorium à 200m sous terre, une mine créée au 13e siècle et toujours en exploitation (si cela excite votre curiosité, un petit tour sur sa page Wikipédia s’impose (il y à même des sculptures de nains dessus)).
Il était donc logique qu’un éditeur polonais s’inspire de ce thème pour proposer un jeu très original.
D’abord au niveau du plateau :
la mine se constitue à partir d’un trou au bas du plateau ; un puit et des galeries horizontales. Bien entendu, plus on va en profondeur, meilleur est la qualité du sel, mais tout est à découvrir et l’eau inonde fréquemment les galeries.
le village contient les différents lieux où les joueurs pourront recruter des mineurs, obtenir des privilèges, pomper l’eau des galeries, acheter ou vendre leurs sels et enfin, réaliser les commandes royales : le meilleurs moyen pour s’enrichir.
La mécanique du jeu est simple et efficace : à son tour, un joueur réalise 2 actions dans la mine ou dans le village. Il peut y renoncer pour reposer ses mineurs.
D’où vient l’originalité ?
Dans la mine :
il faut faire une chaîne continue de mineurs, et on ne peut casser une chaîne même quand on a besoin de son mineur.
Il faut remonter le sel jusqu’à la surface, et chaque case à traverser rapporte un grosz (c’est un sou polonais) à son occupant. S’il y a plusieurs occupants, on choisit à qui l’on donne son grosz.
La mine est souvent inondée et si on ne pompe pas, extraire du sel est beaucoup plus pénible.
Dans le village :
Chaque bâtiment peut recevoir un assistant, l’assistant gagne un grosz à chaque fois que le bâtiment est utilisé, mais placer un assistant prend une action et un homme.
Il faut faire la queue à la cour du roi, et un joueur doit souvent placer un homme avant d’avoir récupéré les sels nécessaires à la commande royale. Tout devrait bien se passer, mais si vous arriver devant le roi sans avoir de commande réalisable, malheur à vous.
Le reste du village comporte plein de petites mécaniques intéressantes inspirées des meilleurs jeux récents :
L’offre et la demande sur le marché fluctuent habilement grâce à la pose des matériaux sur les cases.
Plus on attend, plus le coût d’embauche est important.
Pomper une première fois est gratuit, après c’est « plus de grosz pour plus pomper ».
Le prix des privilèges varie comme celui des acteurs dans Showmanager : l’achat d’un privilège fait baisser le coût de tous les autres.
Il est interdit d’aller 2 fois dans le même bâtiment durant son tour (et pourtant, c’est drôlement tentant).
D’où vient le plaisir ?
Le plaisir du manager : "si peu de temps, tant de choses à faire » : le dicton est toujours valide.
Le plaisir du combo-lover : Les privilèges obtenus et utilisables une fois par saison permettent des combinaisons surprenantes et très satisfaisantes.
Le plaisir du percepteur (cf Monopoly) : Les grosz gagnés quand un joueur utilise vos mineurs pour remonter son sel ou utilise un bâtiment muni de votre assistant.
Le plaisir de la photo finish : même si un joueur, de part son talent, gagne largement, cela n’est visible qu’à la fin de la partie et l’excitation des joueurs dans les derniers tours est palpable.