Partout dans Wastburg, depuis quelques jours, des gens se font gifler sans raison apparente, sans prévenir et sans réelle constance dans le modus operandi. Untel se fait gifler alors qu’il s’apprête à rentrer chez lui un soir, un autre en plein marché, un troisième est réveillé par une gifle au milieu de la nuit… Les plaintes à la Garde se multiplient… Serait-il possible que le gifleur en soit jamais attrapé par les gardoches ?

Cette intrigue est divisée en deux scénarios. Entre les deux, une seconde intrigue, qui débute pendant le premier de l’autre intrigue, s’achève pour mieux brouiller les pistes. (Faut suivre !)
Lors du premier scénario, « Une gifle, cela ne blesse que l’orgueil », les PJ doivent retrouver qui est le mystérieux gifleur et le livrer à la justice.
« La rumeur qu’on entend de la rue » est une intrigue destinée à être intercalé entre les deux scénarios. Dans cette historiette amoureuse, les gardoches sont confrontés à un mari honnête et scrupuleux, à une épouse dont on ne peut pas en dire autant et à un amant expérimenté et cupide.
Le dernier scénario, « Une bonne paire de claques », confronte les gardoches aux conséquences de leurs actions. L’occasion pour eux de découvrir que les fauteuils des échevins et des prévôts ne sont pas aussi confortables qu’il n’y paraît.
Le supplément se conclut sur une aide de de jeu pour gérer les oppositions sociales, les magouilles et les intrigues en tout genre.