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fiche de jeu publiée le jeudi 15 mai 2014, par
photographies non contractuelles. en cas de doute sur les caractéristiques exactes, téléphonez-nous ;)
Wastburg est un jeu de rôles qui propose aux joueurs d’incarner des gardes dans une cité médiévale où la magie s’est fait la malle. Jeunes recrues, ils patrouilleront dans la rue pour apprendre les ficelles du métier puis seront appelés à résoudre des mystères plus complexes et à jouer un rôle de premier plan dans la politique de la cité. Car Wastburg est une cité qui change. Pas toujours en bien, mais c’est une autre histoire.
Adapté du roman de Cédric Ferrand paru chez les Moutons électriques, Wastburg est un huis clos à ciel ouvert, une cité coincée entre deux royaumes qui se tournent le dos. L’ambiance n’est pas sans rappeler le Guet d’Ankh-Morpork de Terry Pratchett ou la Lankhmar de Fritz Leiber. Les personnages seront confrontés à des manigances politiciennes, à des crimes crapuleux, à des complots sordides... et sans doute décideront-ils de jouer aussi durement que leurs adversaires en s’abaissant à leur niveau pour rendre coup pour coup. Car tout ce qui se prétend pur et droit ne fait pas long feu à Wastburg. La cité corrode tout, même l’or. Surtout l’or.
Système de jeu minimaliste, le Free Universal Roleplaying Game (FU RPG) a été créé pour être facile à prendre en main. Ce sont des règles qui s’effacent devant l’intrigue et le récit. Alors que de nombreux jeux proposent des règles de résolution d’action très binaires (échec ou réussite), FU RPG s’appuie sur un concept clé du théâtre d’improvisation : le Oui, mais… qui permet de rebondir sur les propositions des joueurs pour compliquer le scénario ou au contraire éviter le cul-de-sac narratif. Les joueurs sont libres de créer des personnages en les définissant par de courtes phrases descriptives qui permettent de garder l’esprit argotique et romanesque de Wastburg. Les dés provoquent des rebondissements et peuvent mettre les personnages dans la panade. Pour éviter cela, les joueurs devront gérer au mieux leurs aubaines qui sont le nerf de la guerre du système de jeu. Et surtout, les règles s’appuient sur un unique tableau de résolution (le tableau des conséquences) qui s’adapte à toutes les situations. Pas de sous-systèmes ou d’exceptions : une même logique guide tous les jets de dés.
Wastburg est une cité crépusculaire : plutôt qu’un héroïsme très tranché, avec des bons facilement identifiables et des salauds qui perdront avant le générique de fin, elle est peuplée de personnages moralement gris. Des gens coincés dans un monde qui les dépasse. Il n’y a pratiquement pas de héros féminins, et les rares qui apparaissent n’ont aucune épaisseur, aucun rôle majeur. Il se dégage comme un constat d’échec dans l’ambiance générale. Ce n’est pas la fin du monde, mais la fin d’un monde. Une impasse de laquelle il s’agit de sortir sous peine de disparaître.
Wastburg contient :
– 1 guide de la ville conçu comme une aide de jeu pour se familiariser avec la ville et retrouver l’univers du roman Wastburg ;
– 1 livret de règles, développées par Cédric Ferrand à partir du Free Universal Roleplaying Game de Nathan Russel : un système qui privilégie le récit et génère des rebondissements à partir des idées des joueurs ;
– 1 scénario inédit de Tristan Lhomme et Cédric Ferrand : riche en rebondissements, personnages et scènes d’enquête pour plonger les « gardoches » des joueurs dans une vieille affaire de la cité ;
– 1 paravent composé à partir d’une grande illustration originale de Gary Chalk ;
– 1 carte de la cité.